mercredi 29 avril 2020

Le cerveau humain: fonctionnement et idées reçues.

Comment fonctionne le cerveau humain ? 
Chef d’orchestre de l’organisme et de nos mouvements, siège de nos pensées et perceptions, il est le centre de commandement de nombreuses fonctions vitales. Si notre compréhension de cet étrange organe s’améliore, il reste en partie mystérieux. 
Tour d’horizon des connaissances et secrets bien gardés de cet organe complexe.


L'organe qui nous distingue entre toutes les espèces vivantes suscite bien des fantasmes.On aimerait tant qu'il soit surpuissant mais non, il est tout simplement humain.

Voici 15 idées reçues sur le cerveau


1. Nous utilisons seulement 10% des capacités de notre cerveau

«La plupart des êtres humains n’utilisent que 10% de leur cerveau. Imaginez si on pouvait atteindre 100%»: c’est une idée reçue ancienne, reprise par Luc Besson dans son film Lucy (2014). Scarlett Johansson y incarne une étudiante qui atteint progressivement 100% de ses capacités cérébrales, après la prise d’une drogue expérimentale. Elle devient alors capable de manipuler les hommes et les machines par télékinésie ou encore de calculer aussi vite qu’un ordinateur.
Cette perspective est certes très séduisante, mais elle s’appuie sur une affirmation totalement fausse. Les progrès de l’imagerie médicale ont en effet permis de visualiser l’activité cérébrale de façon très détaillée. Résultat: aucune zone n’est inactive de façon permanente. L’ensemble de notre cerveau est utilisé, bien que chacune des régions ne soit pas mobilisée au même instant. L’idée qu’il existerait des zones cérébrales non affectées et susceptibles d’offrir des potentialités nouvelles n’a donc pas de réalité.

2. Apprendre par cœur, c’est essentiel pour le cerveau

Tables de multiplications, dates de l’histoire ou poésie… Des savoirs qui nécessitent un apprentissage «par cœur». Néanmoins, si cette méthode est indispensable pour certains apprentissages, car elle met en œuvre différents types de mémoire utiles au bon fonctionnement cognitif, elle ne peut être considérée comme «essentielle». L’acquisition de beaucoup de connaissances nécessite une compréhension de la chose apprise: un texte appris par cœur par un comédien ne saurait suffire pour qu’il le connaisse sur le bout des doigts.

3. Le stock de neurones se constitue à la naissance, une fois pour toutes

Au cours du XXe siècle, les scientifiques pensaient que nous naissions avec un stock de neurones, qui diminuait inexorablement avec l’âge. Le cerveau adulte étant incapable d’en générer de nouveaux. Dans les années 1990, ce dogme a été mis à bas. Deux zones très localisées ont été identifiées. Situées près du bulbe olfactif et de l’hippocampe, on les appelle des «niches germinatives» car elles contiennent des cellules souches capables de se transformer en nouveaux neurones. Elles renouvellent ainsi tout au long de la vie certaines cellules impliquées dans la mémoire et l’apprentissage. Cette «neurogenèse» pourrait même se produire dans d’autres zones du cerveau, mais cela n’a pas encore été prouvé. En outre, il peut y avoir des variations: les chercheurs ont révélé que l’environnement peut stimuler (activité physique ou sociale) ou au contraire diminuer (stress, isolement, dépression) ce renouvellement cellulaire.

4. Certaines personnes sont très fortes pour accomplir de multiples tâches en même temps

Napoléon avait la réputation de pouvoir faire plusieurs choses à la fois, et l’on dit souvent que les femmes sont plus enclines aux multitâches que les hommes. Des mythes qui ont été démentis encore une fois par la science. En 2010, une équipe de chercheurs français a démontré les limites du cerveau grâce à l’imagerie médicale. Selon leurs travaux, chacun des deux hémisphères cérébraux ne peut gérer qu’une tâche à la fois. Notre cerveau n’est donc capable de coordonner au mieux que deux activités en même temps et en passant successivement de l’une à l’autre. À partir de trois tâches, les sujets de l’étude commettent plus d’erreurs et devenaient moins réactifs. À terme, l’une des trois activités finissait par être abandonnée.

5. Quand on se repose, le cerveau dépense moins d’énergie

Le cerveau d’un homme adulte ne représente que 2 % du poids total de son organisme. Pourtant, il consomme environ 20% de son énergie (glucose et oxygène). La majorité de cette consommation énergétique est directement liée à la fonction cérébrale: transmission de l’influx nerveux et communication entre les neurones. Et cette dépense d’énergie ne varie que très peu entre le repos et l’activité physique ou intellectuelle. En revanche, le cerveau consomme environ 40% d’énergie en moins au cours du sommeil lent (environ 75% du temps d’endormissement) ou lors d’une anesthésie générale.

6. Rêvasser n’est pas stimulant pour le cerveau

Les personnes «dans la lune» seraient, bien au contraire, celles qui réfléchissent le plus! En 2009, des chercheurs canadiens ont en effet observé que le cortex préfrontal -où siègent notamment la planification ou le raisonnement- est plus actif quand l’individu vagabonde dans ses pensées. Non seulement rêvasser stimule le cerveau, mais cela lui permet parfois de résoudre des problèmes complexes. Témoins, certains mathématiciens qui ont trouvé une solution à des problèmes très complexes en se promenant en forêt. Lorsqu’il n’est pas perturbé par des sollicitations extérieures, le cerveau travaillerait ainsi d’autant mieux.

7. Si vous êtes mauvais en maths, c’est forcément de votre faute

Combien font 15 fois 3? 280 est-il plus petit ou plus grand que 134? Des opérations simples pour la plupart d’entre nous, mais qui s’avèrent être de véritables casse-tête pour les personnes atteintes de dyscalculie. Cette affection est au calcul ce que la dyslexie est à la lecture. Le trouble apparaît dans les premières années du développement de l’enfant. Il se traduit par une incompréhension du dénombrement, des difficultés d’apprentissage et de mémorisation des tables d’addition et de multiplication. Selon les neurologues, la dyscalculie serait associée à des anomalies de certaines régions du cerveau. 

8. Le cerveau reptilien est responsable de nos instincts les plus primitifs

Notre cerveau serait divisé en trois parties: le cerveau reptilien, responsable des comportements primitifs (se nourrir, se reproduire, combattre), le cerveau limbique, centre des émotions, et le néocortex, siège de la pensée. Cette théorie forgée par le neurophysiologiste américain Paul MacLean au début des années 1960 a connu un succès mondial. Mettant d’accord les neurologues et les psychanalystes, ce modèle permettait d’expliquer la complexité de l’homme, écartelé entre ses instincts archaïques, ses émotions et son intelligence. Las! Ce schéma très consensuel est tout simplement faux. Depuis les années 1970, la théorie a été démontée par les neuroscientifiques: notre cerveau ne peut être ainsi compartimenté. Bien au contraire, toutes les aires cérébrales sont interconnectées.

9. Les ondes du téléphone mobile provoquent des cancers du cerveau

De nombreux travaux ont été menés sur les liens possibles entre les ondes des mobiles et les cancers du cerveau. Mais leurs résultats sont contradictoires, et les scientifiques manquent de recul et d’études incontestables pour trancher. Les études ayant établi un lien ont néanmoins montré que les sujets ayant subi des expositions prolongées pourraient présenter un très faible surrisque de développer une tumeur au cerveau. L’Organisation mondiale de la santé préfère rester prudente et considère l’usage des téléphones mobiles comme «peut-être cancérigène». Ce qui est un langage de statisticien, pas de clinicien. En attendant, les médecins conseillent de limiter l’exposition aux ondes, en utilisant un kit mains libres et recommandent un usage modéré aux enfants et adolescents.

10. Un poisson rouge a une mémoire de 12 secondes

«Avoir une mémoire de poisson rouge». Cette croyance populaire fait référence à la supposée mémoire des poissons rouges, qui ne serait que de quelques secondes. Encore aujourd’hui très répandue, cette idée est pourtant totalement erronée. Plusieurs équipes de chercheurs ont en effet montré que le poisson rouge, et les poissons en général, possède une mémoire pouvant aller jusqu’à plusieurs mois. Ils sont capables de mémoriser des lieux associés à l’alimentation ou à la douleur, ou encore de retenir le chemin d’un labyrinthe. À ceux qui laissent croupir leur poisson dans un petit bocal, à bon entendeur…

11. Les jeux vidéo abrutissent les joueurs

Violence, agressivité, repli sur soi… Accusés de bien des maux, les jeux vidéo seraient pourtant bons pour le cerveau, dans certaines conditions. Plusieurs études internationales ont en effet démontré que la pratique régulière de jeux d’action améliore la capacité à prendre des décisions, l’attention ou encore la vitesse de réaction. Certains travaux suggèrent même qu’ils pourraient être des supports thérapeutiques pour rééduquer des patients atteints de certains déficits visuels. Ainsi, s’ils n’améliorent pas l’intelligence, les jeux vidéo peuvent être bénéfiques pour certaines capacités cognitives. Toutefois, des usages excessifs peuvent conduire à une forme d’addiction, avec des répercussions sur la vie sociale et professionnelle ou encore sur la santé psychique. L’important est donc de ne pas en abuser.

12. il n’y a pas de différence entre cerveau masculin et féminin

Des études ont démontré que le cerveau des femmes (1,2kg) était en moyenne plus petit que celui des hommes (1,35kg). Une différence qui n’a rien à voir avec l’intelligence et qui s’explique par de simples raisons anatomiques. Mais une découverte récente a également montré que la structure interne des cerveaux masculin et féminin était différente, en particulier pour le câblage entre zones cérébrales. Attention aux interprétations abusives: une telle distinction ne signifie rien en termes de fonctionnement du cerveau d’un homme ou de celui d’une femme. Elle ne dit rien de l’influence des gènes, rien de l’environnement.

13. il est impossible de créer des faux souvenirs

En 2013, une équipe de l’université d’Utrecht aux Pays-Bas a testé l’effet de la désinformation sur la création de faux souvenirs. Les chercheurs néerlandais ont interrogé 249 soldats à leur retour d’Afghanistan. Au cours d’un questionnaire portant sur le stress, les scientifiques ont demandé aux soldats s’ils se souvenaient d’un évènement pourtant fictif (une attaque qui n’avait jamais eu lieu). Neuf mois après, les soldats furent réinterrogés, et 26% d’entre eux déclarèrent avoir vu cet évènement, bien qu’ils n’en aient jamais fait l’expérience. Cette étude montre qu’il est donc bien possible de créer des faux souvenirs. Plus récemment, des travaux américains ont également révélé que la fatigue favorise la création de faux souvenirs.

14. Les marchands savent manipuler nos cerveaux pour favoriser un achat

Les marchands n’ont pas attendu les neurosciences pour parvenir à nous faire acheter des choses dont nous n’avons pas forcément besoin. Toutefois, les outils d’imagerie médicale permettent aujourd’hui aux marques d’étudier l’impact de leurs programmes publicitaires sur le cerveau des consommateurs. Le neuromarketing étudie ainsi l’influence de certains facteurs cognitifs ou émotionnels pour améliorer les publicités ou le packaging des produits. L’objectif étant de comprendre ce qui peut motiver la prise de décision d’un achat. Pour autant, ces études d’observation n’ont pas permis d’identifier une sorte de «bouton d’achat» dans notre cerveau et encore moins de mettre au point des techniques de manipulation de notre esprit.

15. Neurosciences et psychanalyse sont forcément antagonistes

Neurosciences et psychanalyse s’intéressent également à l’étude du fonctionnement mental. Pourtant, tout semble séparer ces deux approches du point de vue conceptuel. Les neurosciences utilisent une approche scientifique expérimentale, avec des théories fondées sur des données objectives et quantifiables, et des hypothèses testables. Tandis que la psychanalyse utilise des champs conceptuels très riches mais difficilement vérifiables. Aujourd’hui, dans de nombreux pays, la guerre entre les deux genres de «psy» tend à s’apaiser. Une approche pragmatique appliquée par certains praticiens cherche à identifier ce qui peut être utile dans chaque démarche. Certains neuroscientifiques tentent même de trouver des liens entre certains concepts de la psychanalyse et les découvertes récentes sur le fonctionnement mental.

mardi 28 avril 2020

L’intelligence artificielle au service de votre santé auditive

 Les aides auditives numériques sont devenues en quelques années des concentrés de technologie au service de notre audition. L’époque des sonotones que portaient nos aïeux est bel et bien révolue laissant place à des technologies en constante évolution. De quoi permettre de retrouver une certaine qualité de vie ainsi qu’une meilleure compréhension.








les appareils auditifs nouvelle génération sont de plus en plus à intégrer une intelligence artificielle capable d’améliorer leur traitement du signal. C’est le cas notamment de Widex Evoke qui se bonifie avec le temps grâce au machine learning. Avec les données récoltées par l’appareil et celles d’autres utilisateurs, Widex Evoke s’améliore avec le temps, proposant au patient de nouveaux réglages qui correspondent à son style de vie.



Le fabricant américain Starkey a également fait parler de lui récemment avec le lancement de Livio AI. Cette aide auditive ultra-sophistiquée ouvre la voie aux prothèses dites “Healthable”, des équipements qui iront au-delà de la simple correction auditive, en devenant de véritables assistants du quotidien. Livio AI, par exemple, analyse votre santé physique, mentale et auditive pour vous pousser à vous surpasser et participer à des conversations. Il propose également des fonctionnalités exclusives comme un détecteur de chute, un système de traduction de langues étrangères en temps réel, une fonction de transcription écrite de la parole et bien d’autres innovations.


Quand surviennent les problèmes d’ouïe

Tout le monde ne souffre pas du même problème concernant l’audition. Si quelques-uns ont une perte réversible d’auditions, d’autres l’auront définitivement. Heureusement pour chacun que les nouveaux appareils auditifs tiennent compte de tous les cas. Quand ces problèmes surviennent, un médecin au moyen d’un appareil doit mesurer le niveau de perte. C’est en fonction de ce niveau de perte qu’un appareil auditif sera fourni. Quand vous avez connaissance de votre problème, pas besoin d’ordonnance ni d’adaptabilité, l’appareil est prêt à l’emploi.


De quoi sont constitués les appareils ?

Les matériaux avec lequel ces appareils sont fabriqués sont représentatifs de votre oreille. A l’intérieur on y ajoute des composants électroniques tolérables par le corps et dont le but est de tout simplement aider l’oreille à mieux percevoir les sons. On a par exemple les potentiomètres de contrôle, un micro miniature pour capter les différents sons mais aussi il y a dans le système un mini écouteur dont le rôle sera d’amplifier les sons captés par le micro miniature. C’est grâce à ce dispositif que l’oreille arrive à percevoir tout ce qui lui est transmis.

Une audition plus confortable ainsi qu’une meilleure compréhension

Les technologies de traitement du signal des prothèses modernes mettent l’accent sur l’intelligibilité de la parole dans le bruit. Pour ce faire, elles amplifient la parole et réduisent les bruits ambiants parasites. Pour y parvenir, elles sont désormais équipées de systèmes automatiques qui analysent et classent les situations que vous rencontrez en temps réel pour profiter d’une écoute toujours confortable, où que vous soyez.

Les technologies de traitement du signal des prothèses modernes mettent l’accent sur l’intelligibilité de la parole dans le bruit

A cela s’ajoute la synchronisation entre les appareils qui améliorent vos capacités de localisation et de compréhension de la parole. Toutes ces technologies participent à un rendu plus naturel ainsi qu’une nette amélioration de la compréhension de la parole par rapport aux anciennes générations.

Le réglage à distance de vos appareils auditifs

Les nouvelles prothèses auditives sans-fil proposent pour la plupart une fonctionnalité de réglage à distance. Celle-ci facilite l’adaptation de votre équipement et vous évite des déplacements inutiles pour des ajustements mineurs, une véritable révolution.
La connectivité universelle au smartphone

Les appareils auditifs les plus récents sont désormais compatibles avec la plupart des téléphones Android et iOS. Avec ces modèles, vous n’avez pas besoin d’un accessoire intermédiaire pour écouter votre musique ou bien téléphoner, la transmission est directe entre le téléphone et l’appareil.

Appareil auditif, prothese auditive, toutes les aides auditives
Plus besoin de piles, place aux aides auditives rechargeables
La plupart des fabricants d’aides auditives proposent aujourd’hui des modèles équipés d’une batterie rechargeable lithium-ion. Plus besoin de changer les piles régulièrement. Il suffit de déposer les appareils sur leur chargeur pendant la nuit et les récupérer chargés et séchés le lendemain.

jeudi 23 avril 2020

Les patients atteints d'un cancer de l'estomac ont une maladie distincte

Lorsque des cellules cancéreuses se développent dans la paroi interne de l'estomac, un cancer de l'estomac est causé. Lorsque des cellules cancéreuses se forment autour de l'extrémité inférieure de l'estomac et des intestins, on parle d'adénocarcinome. Cependant, la survenue de cette forme de cancer a diminué et de plus en plus de cas de cancer de la jonction gastro-œsophagienne sont signalés.


Dans le cancer gastro-œsophagien, il y a une croissance excessive des cellules cancéreuses près de la jonction et cette croissance rampante provoque de graves inconvénients et dans quelques cas, cette croissance cancéreuse excessive se rompt de la croissance principale et se dirige vers d'autres parties 



Quels sont les signes qui pourraient indiquer un cancer de l'estomac?      





Les symptômes du cancer de l'estomac sont: 


  • La nausée
  • Fatigue
  • Vomissements inexpliqués
  • Se sentir constamment gonflé
  • Perte d'appétit
  • Perte de poids excessive
  • Brûlures d'estomac sévères
  • Sensation de ballonnement après de petits repas
Si vous ressentez l'un de ces symptômes à l'occasion, cela peut ne pas être le signe d'un cancer de l'estomac, car peu de ces symptômes sont également les mêmes pour la douleur des gaz intestinaux. Cependant, si l'un des symptômes est récurrent, veuillez consulter un établissement médical et surtout demander des tests gastriques car le cancer de l'estomac n'est généralement pas recherché pour des tests réguliers, sauf indication contraire. Le cancer de l'estomac, lorsqu'il est détecté à un stade précoce, est facilement guérissable car la croissance des cellules cancéreuses est encore au stade naissant.


Quels sont les facteurs qui pourraient me mettre en danger?

Le cancer de l'estomac est courant chez ceux qui ont des antécédents de reflux gastro-intestinal (RGO). Les patients atteints de cette condition éprouvent souvent le reflux des sucs gastro-intestinaux dans l'œsophage. Alors que de nombreux médecins contribuent au cancer de l'estomac dans les habitudes alimentaires et le tabagisme, c'est le RGO qui est le principal contributeur.

Les autres facteurs susceptibles de provoquer une infection sont:
  • Un régime qui comprend de grandes quantités de nourriture fumée
  • Un régime qui contient beaucoup de sel
  • Polypes d'estomac
  • Une histoire avec des ulcères à l'estomac
  • Régime NA qui néglige les fruits et légumes essentiels
  • Les infections
  • Inflammation constante dans l'estomac
Comment puis-je prévenir le cancer de l'estomac?

La raison exacte pour laquelle le cancer de l'estomac est causé n'est pas encore connue. Cependant, les chercheurs et les experts médicaux ont pu le réduire à un sous-ensemble de conditions qui déclenchent la croissance rampante des cellules dans l'estomac, provoquant ainsi le cancer.

Il existe des moyens de réduire le risque de cancer de la jonction gastro-œsophagienne en modifiant le régime alimentaire et le mode de vie. Elles sont:

  • L'exercice régulier aide le corps à fonctionner à un niveau amélioré et cela contribue grandement à prévenir toute nouvelle condition. Il est toujours conseillé de faire de l'exercice pendant au moins 30 minutes chaque jour.
  • Maintenez une alimentation saine avec une variété de fruits et légumes. Avoir une variété garantit que le corps reçoit naturellement tous les antioxydants et les suppléments anti-inflammatoires.
  • Réduisez la consommation d'aliments salés et fumés. Cela aidera à prévenir toute infection car ce sont des contributeurs courants au RGO.
  • Tabagisme: le tabagisme est soit une cause, soit un catalyseur de plus de six cent trente-six maladies connues de l'homme. Et, le cancer de l'estomac est sur cette liste. Si vous fumez, consultez un médecin ou une thérapie pour vous aider à arrêter de fumer.
Quelles sont les options de traitement du cancer de l'estomac?

Les options de traitement pour le cancer de l'estomac varient entre les médicaments ciblés, la chimiothérapie et l'ablation chirurgicale de la partie infectée en fonction du stade de son évolution et de la détection précoce ou tardive du cancer.

Chirurgie:

Si le cancer est détecté à un stade précoce, une intervention chirurgicale est effectuée pour retirer la muqueuse interne de l'estomac affectée par le cancer. De même, selon la gravité de la maladie, certaines options suppriment une petite partie de l'estomac, retirent tout l'estomac et suppriment les ganglions lymphatiques pour explorer des emplacements plus cancéreux.

Radiothérapie:

En radiothérapie, de puissants faisceaux d'énergie sont utilisés pour affaiblir et tuer les cellules cancéreuses du corps. Il est également utilisé avant de retirer chirurgicalement une formation cancéreuse, car il rétrécit les cellules cancéreuses, ce qui facilite son fonctionnement chirurgical.

Dans les cas où le cancer s'est métastasé, la radiothérapie est utilisée pour gérer les effets secondaires causés par le régime de traitement recommandé.

Chimiothérapie:

La chimiothérapie est un traitement médicamenteux utilisé avant et après une intervention chirurgicale pour éliminer les formations cancéreuses de l'estomac. Avant la chirurgie, la chimiothérapie aide à réduire la formation, facilitant ainsi l'intervention des médecins. Après la chirurgie, la chimiothérapie est utilisée pour attaquer et tuer toutes les cellules cancéreuses qui auraient pu se propager à d'autres parties du corps et en est à ses premiers stades.

mardi 21 avril 2020

cancer de la vessie mise à jour pendant Covid-19

Un diagnostic de cancer de la vessie augmente-t-il le risque d'infection par le virus COVID-19?


Un diagnostic de cancer de la vessie n'augmente pas votre risque de contracter le virus COVID-19. Cependant, il existe plusieurs préoccupations selon lesquelles les patients et leurs familles devraient être conscients des traitements contre le cancer de la vessie et du risque d'acquérir ou de développer COVID-19. Le cancer de la vessie étant une tumeur solide, il n'a pas d'impact direct sur les cellules immunitaires de votre corps en fonction de la maladie. Les patients atteints d'un cancer de la vessie doivent fréquemment consulter un médecin. Il est conseillé d’appeler le bureau de votre médecin ou de lui parler avant d’aller à l’hôpital ou à la clinique. Parlez de votre besoin spécifique de certains rendez-vous typiques pour le cancer de la vessie dans la situation pandémique actuelle. Ces visites aux cabinets médicaux peuvent vous exposer, vous et vos familles, au risque d'être infectés. Il peut également exposer les professionnels de la santé à des risques inutiles de contracter le virus.


Le traitement intravésical avec BCG pour le cancer de la vessie augmente-t-il le risque d'attraper le virus COVID-19?

Il n'y a aucun rapport de ce type indiquant que les patients sous BCG intravésical reçoivent plus de COVID-19 que les patients qui n'en reçoivent pas. Des essais cliniques sont en cours pour évaluer l'impact de la vaccination BCG sur le risque d'infection par le virus COVID-19. Il est important de noter que le fait de se rendre à l'hôpital pour recevoir ce traitement pourrait potentiellement mettre les patients à risque d'attraper l'infection au COVID-19. Si un patient a reçu quatre doses d'induction, les experts estiment qu'il est possible d'attendre quelques semaines avant de recevoir les doses restantes de BCG. Le risque de contracter le virus en venant dans un établissement de santé pour ce traitement est plus élevé que tout risque de retarder les doses cinq et six pendant plusieurs semaines. Si un patient est induit et est toujours à la dose numéro trois, les experts suggèrent d'essayer d'obtenir la dose quatre avant de prendre une pause des traitements restants. S'ils suivent un traitement d'entretien, obtenir un et deux et sauter complètement la dose trois est acceptable. Il est probable que retarder le BCG est beaucoup moins risqué que le risque de contracter COVID-19. Parlez à l'expert pour vous guider dans la prise de décision.

La chimiothérapie ou l'immunothérapie du cancer de la vessie augmentent-elles le risque d'attraper le virus COVID-19?

La chimiothérapie peut augmenter votre risque. Il existe deux façons d'administrer la chimiothérapie pour le cancer de la vessie. L'une met la chimiothérapie à l'intérieur de la vessie, qui est intravésicale, et l'autre est intraveineuse (IV), qui reçoit une chimiothérapie systémique. La chimiothérapie systémique peut entraîner une plus grande immunosuppression. Deux types de chimiothérapie différents sont utilisés, MVAC à forte dose et GemCis. MVAC provoque plus de neutropénie que GemCis. La neutropénie est une condition associée à une faible numération des globules blancs entraînant une immunité réduite pour lutter contre toute infection. Mais l'un ou l'autre pourrait altérer le système d'un patient en fonction de son état de santé de base (c'est-à-dire l'âge et d'autres facteurs). Ainsi, la chimiothérapie systémique expose les patients à un risque accru. Les premières données provenant d'autres centres de cancérologie montrent que les patients qui avaient tout type de cancer et qui ont reçu une chimiothérapie qui ont également contracté l'infection au COVID-19 ont eu de moins bons résultats que ceux qui n'avaient pas reçu de chimiothérapie. L'immunothérapie aide le système immunitaire à combattre le cancer. Cependant, un patient sur six qui est sous immunothérapie peut avoir une complication liée au traitement où il y a un effet secondaire auto-immun. Une maladie auto-immune est une maladie qui amène le système immunitaire à produire des anticorps qui attaquent les tissus corporels normaux. Ces patients peuvent avoir besoin de fortes doses de stéroïdes ou d'un traitement immunosuppresseur. Dans cette situation, les patients peuvent clairement courir le risque d'attraper une infection au COVID-19.

Mes risques sont-ils augmentés si ma vessie a été retirée (cystectomie)?

Les taux de mortalité précoce chez les patients âgés de 60 à 70 ans, qui ont été signalés en Chine et en Italie, montrent que les décès dus au COVID-19 augmentent considérablement avec l'âge. La plupart des patients atteints d'un cancer de la vessie tomberont dans ces groupes d'âge plus avancés. Les patients de cet âge sont déjà à haut risque. Leur résilience à une infection comme COVID-19 va être particulièrement compromise en se remettant de cette grosse opération. Si un patient se porte bien, il n'y a aucune raison qu'il vienne à la clinique au plus fort de cette pandémie. La télémédecine peut aider les médecins à surveiller l'incision et la stomie grâce à la visite vidéo. Les experts conviennent que tout le monde doit être très, très prudent avant de choisir d'avoir des cystectomies radicales maintenant et pour les prochaines semaines. De nombreuses équipes médicales ne font aucune cystectomie pendant au moins deux, trois ou quatre semaines. Retarder un mois en ces temps difficiles de la pandémie, voire retarder six semaines, ne risque pas de nuire au traitement du cancer de la vessie. Si vous attendez une cystectomie, parlez à votre équipe médicale de vos options, y compris la chimiothérapie néoadjuvante ou d'autres options.

Les patients qui ont subi une cystectomie sont-ils plus à risque d'attraper COVID-19?

Après la chirurgie, lorsque la numération sanguine d'un patient s'est rétablie et que ses blessures ont guéri, et qu'il fait l'objet d'un suivi régulier tous les trois mois, il présente un risque normal d'exposition et d'attraper des infections à COVID-19.

Y a-t-il moins de risques de contracter COVID-19 pour les patients qui viennent dans un petit cabinet communautaire pour des traitements contre le cancer de la vessie?

N'oubliez pas que l'éloignement social aide à réduire votre risque. Éloignez-vous des personnes qui ne savent peut-être même pas qu'elles sont infectées. Les premières recherches en Chine et dans d'autres pays ont suggéré que les personnes ayant des antécédents de cancer pourraient en effet être plus vulnérables aux infections et aux événements graves liés au COVID-19. Certains médecins proposent également une «distance médicale» - en réduisant le nombre de patients cancéreux qui visitent les établissements de santé dans la mesure du possible afin de réduire le risque d'exposition et de transmission des coronavirus dans cette population. Si vous recevez des traitements intravésicaux ou autres et qu'ils peuvent être retardés, d'autant plus que nous essayons en tant que nation d'aplanir l'exposition et l'incidence de la courbe de projection des nouveaux cas, vous devez rester à la maison, et ne pas vous mettre vous-même et le personnel médical qui prend soin de vous à risque. C’est le plus gros problème global.

Les patients peuvent-ils continuer à obtenir leurs traitements avec succès pendant COVID-19, ou peuvent-ils retarder en toute sécurité certains traitements réguliers?

Chez les patients atteints de maladie métastatique, l'objectif de la chimiothérapie ou de l'immunothérapie est plus palliatif ou la gestion des symptômes tels que la douleur. Les médecins peuvent prioriser les patients sous traitement à visée curative tout en réduisant les visites pour les patients atteints de maladie métastatique. Si l'intention de leur traitement est curative ou un contrôle immédiat de la maladie, notre choix serait différent. Comme dans le cas de la chimiothérapie néoadjuvante (chimiothérapie avant l'ablation prévue de la vessie), l'objectif est une cure. Même si la chimiothérapie entraîne une immunosuppression, nous recommandons toujours qu'un patient vienne à la clinique et reçoive une chimiothérapie, bien que le COVID-19 soit une maladie facilement transmissible. Les patients et les soignants doivent prendre de bonnes précautions universelles. Cela comprend l'isolement continu et la distanciation sociale et s'assurer qu'ils se lavent les mains et se lavent le visage. Nous pouvons potentiellement les surmonter parce que l'intention est un remède.

Comment puis-je obtenir un deuxième avis sur mes options de traitement du cancer de la vessie si je ne peux pas me rendre dans un autre cabinet médical pendant cette épidémie?

Nous encourageons les patients à penser à demander un deuxième avis pour tout traitement contre le cancer. Il pourrait être possible d'obtenir un deuxième avis dans le confort et la sécurité sans virus de leur propre maison. Vous devriez vérifier auprès du centre de cancérologie auprès duquel vous essayez de demander un avis s'ils fournissent des services de télésanté à de nouveaux patients.

La télésanté peut-elle aider les patients atteints de cancer de la vessie?

La télésanté est l'utilisation de l'information et des télécommunications électroniques pour soutenir et promouvoir les soins de santé cliniques à longue distance. Pour une rencontre de soins de santé, une visite de télémédecine nécessite une conférence audio et vidéo en direct. La télémédecine permet aux patients atteints de cancer de la vessie d'avoir des conversations avec leur équipe médicale et évite d'exposer à la fois les patients et les membres de l'équipe de soins de santé aux patients positifs pour COVID-19. Le dépistage des patients par téléphone avant leur arrivée à la clinique peut aider à éliminer les visites de suivi de routine potentiellement redondantes et à réduire le risque d'infection.

lundi 20 avril 2020

Symptômes de problèmes rénaux: gardez vos reins en bonne santé

Comme nous le savons tous, chaque corps humain a deux reins, qui sont principalement chargés de filtrer le sang sans les déchets azotés comme l'urée, la créatinine, les acides, etc. (qui sont tous des produits du métabolisme dans le corps) et produisent de l'urine.


Des millions de personnes vivent avec différents types de maladies rénales et la plupart n’ont même pas la moindre idée à ce sujet. C’est pourquoi la maladie rénale est souvent appelée «tueur silencieux», car la plupart des gens ne ressentent aucune différence tant que la maladie n’est pas avancée. Alors que les gens font régulièrement vérifier leur tension artérielle, leur taux de sucre et de cholestérol, ils ne parviennent pas à faire un simple test de créatinine dans leur sang, pour détecter tout problème rénal non identifié. Selon l'étude Global Burden Disease (GBD) en 2015, la maladie rénale chronique (MRC) est classée comme la huitième cause de mortalité en Inde.


Il existe un certain nombre de signes avant-coureurs d'un trouble rénal, cependant, la plupart du temps, ils sont ignorés ou confondus avec d'autres pathologies (en raison de leur nature non spécifique). Par conséquent, il faut être très vigilant et faire passer les tests de confirmation (y compris le sang, l'urine et l'imagerie) dès la première apparition de tout signe de trouble rénal. On devrait visiter un néphrologue et clarifier ses doutes. Mais si vous souffrez d'hypertension, de diabète, d'obésité, de syndrome métabolique comme on l'appelle à l'âge actuel, ou de maladie coronarienne, et / ou d'antécédents familiaux identiques ou d'antécédents familiaux d'insuffisance rénale ou même si vous avez plus de 60 ans ans, il est conseillé de faire régulièrement des tests rénaux.


Bien que la seule façon définitive de diagnostiquer une maladie rénale soit de faire des tests de confirmation, voici quelques signes précurseurs d'une maladie rénale:


  • L'un des premiers signes est l'apparition d'un gonflement au-dessus des chevilles, des pieds ou des jambes: on commencera à remarquer un œdème à ces sites qui pique sur l'application de la pression et est appelé œdème piqueur. Lorsque la fonction rénale commence à chuter, il y a une rétention de sodium qui provoque un gonflement du tibia et des chevilles. En bref, toute personne constatant un nouvel œdème de la pédale devrait obtenir une évaluation immédiate de sa fonction rénale après avoir consulté un néphrologue.
  • Œdème périorbitaire: il désigne un gonflement ou des poches autour des yeux causés par l'accumulation de liquide dans les cellules ou les tissus. C'est l'un des premiers signes d'un trouble rénal. Il est particulièrement important chez les individus présentant une fuite d'une quantité importante de protéines par le rein. La perte de protéines du corps diminue la pression oncotique intravasculaire et conduit à une accumulation extravasculaire de liquide dans divers sites comme autour des yeux.
  • Faiblesse: la fatigabilité précoce est presque toujours un symptôme universel de maladie rénale. À mesure que la dysfonction rénale progresse, ce symptôme devient de plus en plus important. On peut se sentir plus fatigué ou épuisé que les jours normaux et ne pas être en mesure d'effectuer des activités plus pénibles, nécessitant ainsi du repos plus souvent. Cela est largement dû à l'accumulation de toxines et d'impuretés dans le sang, résultant d'une mauvaise fonction rénale. Étant un symptôme non spécifique, il est souvent ignoré par la plupart des gens et n'est pas étudié de manière approfondie.
  • Diminution de l'appétit: secondaire à l'accumulation de toxines comme l'urée, la créatinine, les acides, l'appétit d'un individu est supprimé. De plus, à mesure que la maladie rénale progresse, il y a un changement de goût, souvent décrit comme métallique par les patients. Si l’on ressent une sensation de satiété précoce malgré le fait qu’il n’y ait presque rien pendant la journée, cela devrait sonner l'alarme dans son esprit et on devrait faire évaluer sa fonction rénale.
  • Nausées et vomissements tôt le matin: un autre des premiers signes d'aggravation de la fonction rénale en présence de nausées tôt le matin, qui est souvent décrit comme frappant la personne lorsqu'elle se rend aux toilettes le matin pour se brosser les dents . Il contribue également au manque d'appétit de l'individu. À l'insuffisance rénale terminale, le patient a tendance à avoir plusieurs épisodes de vomissements et une perte complète d'appétit.
  • Anémie: le taux d'hémoglobine commence à baisser, on pourrait sembler pâle, sans aucun site apparent de perte de sang du corps. C'est l'une des complications courantes de la maladie rénale. Cela peut également provoquer une faiblesse et une fatigue. La cause de l'anémie est multifactorielle qui comprend de faibles niveaux d'érythropoïétine (l'érythropoïétine étant synthétisée dans le rein), de faibles niveaux de fer, l'accumulation de toxines entraînant une suppression de la moelle osseuse pour n'en nommer que quelques-uns.
  • Changements dans la fréquence des urines: il faut surveiller de très près son débit urinaire. Par exemple, le débit urinaire peut diminuer ou vous pouvez ressentir le besoin d'uriner plus souvent, surtout la nuit (appelé nocturie). Il peut s'agir d'un signe d'avertissement et peut indiquer que les unités de filtration rénale sont endommagées ou en voie de l'être. Parfois, cela peut également être le signe d'une infection des voies urinaires ou d'une hypertrophie de la prostate chez les hommes. Ainsi, un changement (augmentation ou diminution) du débit urinaire doit être immédiatement signalé à votre néphrologue.
  • Urine mousseuse ou sang dans l'urine: une mousse excessive dans l'urine indique la présence de protéines dans l'urine (qui, dans des circonstances normales, devraient être négligeables). Lorsque le mécanisme de filtration du rein a été ou est endommagé, les protéines et les cellules sanguines commencent à s'échapper dans l'urine. En plus de signaler une maladie rénale, le sang dans l'urine peut indiquer des tumeurs, des calculs rénaux ou tout type d'infection. De plus, le pus associé à l'urine ainsi que la fièvre ou les frissons peuvent être graves et peuvent à nouveau être le signe d'une infection grave des voies urinaires. Ainsi, les changements de couleur, de consistance ou de nature de l'urine doivent être signalés le plus tôt possible à un spécialiste des reins.
  • Peau sèche et qui démange: La peau sèche et qui démange peut être un signe de maladie rénale avancée. À mesure que la fonction rénale diminue, les toxines ont tendance à s'accumuler dans le corps, entraînant des démangeaisons, une peau sèche et nauséabonde.
  • Douleurs au dos ou au bas de l'abdomen: des douleurs dans le dos, les côtés ou sous les côtes peuvent être un symptôme précoce de troubles rénaux comme le calcul rénal ou la pyélonéphrite. De même, une douleur au bas-ventre peut être associée à une infection de la vessie ou à une pierre dans un uretère (le tube reliant le rein et la vessie). Ces symptômes ne doivent pas être ignorés et examinés plus avant par une étude d'imagerie de routine comme la radiographie KUB ou l'échographie abdominale.
  • Hypertension artérielle: L'hypertension artérielle peut être un signe de maladie rénale. Toute personne diagnostiquée avec une hypertension doit avoir un bilan détaillé des fonctions rénales et de l'imagerie rénale pour exclure l'étiologie rénale de l'hypertension. À mesure que la fonction rénale se détériore, il y a rétention de sodium et d'eau entraînant une pression artérielle élevée. Les symptômes de l'hypertension comprennent des maux de tête, des douleurs abdominales,
Symptômes de problèmes rénaux: gardez vos reins en bonne santé

La reconnaissance et la prise de conscience des signes avant-coureurs et une intervention rapide peuvent faire la différence entre la détection précoce et le traitement des troubles rénaux ou de l'insuffisance rénale qui pourraient se traduire par une dialyse, une transplantation rénale ou même la mort.


Conseils pour garder vos reins en bonne santé:

Il existe plusieurs façons de réduire le risque de développer une maladie rénale. Alors, pourquoi attendre que vos reins soient malades? Voici quelques étapes pour prendre soin de la santé de vos reins:


Buvez beaucoup d'eau: c'est la façon la plus courante et la plus simple de garder vos reins en bonne santé. Consommer beaucoup d'eau, en particulier de l'eau chaude, aide les reins à éliminer le sodium, l'urée et les toxines du corps.




  • Buvez beaucoup d'eau: c'est la façon la plus courante et la plus simple de garder vos reins en bonne santé. Consommer beaucoup d'eau, en particulier de l'eau chaude, aide les reins à éliminer le sodium, l'urée et les toxines du corps.
  • Régime pauvre en sodium / sel: Gardez votre apport en sodium ou en sel sous contrôle. Cela signifie que vous devez également couper les aliments emballés / de restaurant. Aussi, n'ajoutez pas de sel supplémentaire à vos aliments. Un régime pauvre en sel diminue la charge sur le rein et empêche le développement de l'hypertension, des troubles liés à l'hypertension et retarde également la progression de la maladie rénale.
  • Maintenez un poids approprié: Mangez sainement et gardez votre poids sous contrôle. Faites vérifier régulièrement votre taux de cholestérol corporel pour éviter le dépôt de cholestérol dans vos artères rénales. En outre, éliminez les graisses saturées / les aliments frits gras de l'alimentation et insistez sur la consommation quotidienne de nombreux fruits et légumes. La charge sur les reins augmente à mesure que le poids d'un individu augmente. Essayez de viser un IMC de 24 ou moins, en particulier dans le scénario indien.
  • Vérifiez régulièrement la glycémie et maintenez-la sous des niveaux optimaux: les lésions rénales chez les patients diabétiques sont très fréquentes et peuvent être évitées si elles sont détectées tôt. Par conséquent, il est conseillé de surveiller régulièrement votre glycémie, d'éviter les produits sucrés et de rencontrer un médecin si la glycémie (à jeun ou postprandiale) ou le HBA1C augmentent. Gardez les niveaux HBA1C sous 6,0.
  • Surveillez régulièrement la tension artérielle et maintenez-la sous contrôle: en cas d'hypertension, prenez des antihypertenseurs selon les conseils de votre médecin, maintenez un mode de vie sain et apportez les changements alimentaires nécessaires. La pression artérielle normale est <120/80. L'hypertension artérielle peut également provoquer des troubles rénaux en plus de conduire à un accident vasculaire cérébral ou à une crise cardiaque.
  • Faites des tests de la fonction rénale et une analyse d'urine est effectuée régulièrement dans le cadre de votre bilan de santé annuel: comme je l'ai mentionné précédemment si vous souffrez de diabète, d'hypertension, d'obésité ou si vous avez plus de 60 ans, passez des tests de fonction rénale, une imagerie rénale et L'analyse d'urine a été effectuée régulièrement. En cas de moindre détection de protéines dans les urines, assurez-vous de consulter votre néphrologue. Les diabétiques doivent être particulièrement attentifs à cela.
  • Arrêter de fumer: le tabagisme est l'un des facteurs de risque modifiables importants impliqués dans la progression de la maladie rénale. Même fumer 1 cigarette pourrait endommager davantage un rein déjà affaibli. Le tabagisme est également un facteur de risque pour le diabète, l'hypertension, la CAD. Ainsi, il faut arrêter de fumer immédiatement, ce qui est essentiel non seulement pour les reins mais aussi pour la santé générale du corps.
  • Maintenez un mode de vie sain et actif en faisant de l'exercice modéré environ 45 minutes par jour, comme faire du jogging, du vélo, de la natation, jouer à des jeux de raquette au moins 5 jours sur 7 dans une semaine, sinon tous les jours. Changez votre mode de vie sédentaire, promenez-vous au bureau ou promenez-vous après le déjeuner.
  • Équilibrez correctement votre style de vie en prenant une nuit de sommeil réparatrice d'au moins 8 heures par jour. Une bonne nuit de sommeil est essentielle pour rester en bonne santé.